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IN OLD IRÂN.

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violent passions as would brook no contradiction, and would not be balked of their gratification.

Here I may be allowed to observe in passing, that it is difficult to agree with those European scholars^[1] who doubt the accuracy of the assertion of Herodotus, that Cambyses was the first Persian to intermarry with his sister. I believe that their hypothesis, that the institution of such marriages had existed long before Cambyses reigned, is much more open to question than the statement of the Greek historian; and this will be demonstrated further on when I come to prove my second statement.

↑ Cf. Keiper, L'Musèon, 1885, pp. 212–213:—"Hérodote tâchait d'expliquer le mieux possible cette habitude qu'il savait être de la plus haute antiquité, parce qu'elle semblait étrange aux Grecs. Il rattacha donc cette innovation prétendue au nom de Cambyse, parce qu'un fait de ce genre lui parut être conforme au caractère despotique et capricieux de ce prince. Peut-être aussi a-t-il tiré cette information de ceux à qui il devait ses autres renseignements sur Cambyse. Nous reconnaissons ici un procédé pareil, à celui dont Xénophon use régulièrement dans la Cyropédie, quand il veut expliquer l'origine d'une habitude ou d'une institution des Perses qui était réellement ancienne ou qu'il croyait ancienne."—Vide Spiegel's remarks, p. 7.

[1] Cf. Keiper, L'Musèon, 1885, pp. 212–213:—"Hérodote tâchait d'expliquer le mieux possible cette habitude qu'il savait être de la plus haute antiquité, parce qu'elle semblait étrange aux Grecs. Il rattacha donc cette innovation prétendue au nom de Cambyse, parce qu'un fait de ce genre lui parut être conforme au caractère despotique et capricieux de ce prince. Peut-être aussi a-t-il tiré cette information de ceux à qui il devait ses autres renseignements sur Cambyse. Nous reconnaissons ici un procédé pareil, à celui dont Xénophon use régulièrement dans la Cyropédie, quand il veut expliquer l'origine d'une habitude ou d'une institution des Perses qui était réellement ancienne ou qu'il croyait ancienne."—Vide Spiegel's remarks, p. 7.

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